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lundi 23 décembre 2013

Bons les quenelles

Retour sur mon billet d'hier sur mon blog principal. Sur ces divines quenelles...


Des vraies quenelles. Rien à voir avec le geste ridicules de ces sectaires extrémistes ridicules et grotesques, qui se prétendent "anti-système" (yo les rebelles...)

C'est bon les quenelles. Mais celles dans l'assiette. Les vraies, quoi...



6 commentaires:

  1. Personne ne va insulter personne, ici, contrairement au blog principal...

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    1. Nicolas,
      TIens, j'ai eu mon con tout à l'heure sur ce blog, qui venait me donner des leçons.

      Enfin, l'insulte, tu sais ce que j'en pense. Insulter, c'est abaisser tout. Le niveau, son niveau, la parole.

      Mangeons, c'est tellement mieux et tellement bon.

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  2. "Mangeons, c'est tellement mieux et tellement bon"

    C'est vrai qu'avec ce genre de phrases, là vous relevez le niveau tout d'un coup...

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    1. Eric,
      Et plutôt que d'être con, relève le niveau toi même. Ce que tu ne fais pas.

      D'abord tu n'as pas répondu à ma question : tu es qui pour donner des leçons et des avis ?

      Je te pose la question une dernière fois. Avant (je te préviens avant) de te virer. Parce que je ne vais pas me faire emmerder par un con que je ne connais pas.

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    2. 1- Soyez cohérent. On ne peut pas à la fois tutoyer quelqu'un, le traiter trois fois de con et après se plaindre du niveau des échanges sur un blog.
      2- Quand on ouvre un blog aux commentaires d'autrui, il faut parfois s'attendre à ce que cet autre ne vous soit pas forcément connu, qu'il ne représente pas grand chose de particulier, et qu'il n'ait pas que du miel à vous servir.
      3- Vous m'agacez. Votre civilisation disparait sous vos yeux. Vous êtes là, coincé, vous le savez et... et... "deux glaçons avec le rosé*".
      (*tiré de "Vie provinciale et parfumée, au service d'une cause notable, minérale et antique. Aux éditions "Eaux capricieuses et vents confortables". Un "rebelle" aurait chié une rime avec "fosse septique". L'amour de la nation ne tolère pas le mauvais goût.
      4- Après, ma démarche (venir chez quelqu'un, s'essuyer les pieds crottés sur son tapis...) n'est pas glorieuse. On peut en rester là.

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    3. Eric, c'était ton dernier commentaire. Tu viens me donner des leçons. Je ne te connais pas, mais tu viens m'emmerder.

      Tu ne m'aimes pas ? Je ne t'aime pas non plus. Je déteste les petits lâches dans ton espèce, qui viennent balancer leurs merdes tranquillement caché derrière son PC. Je t'agace ? C'est très bien : agacer les cons et les lâches est un plaisir rare.

      TU me donnes une leçon sur les blogs ? Je vais t'en donner une aussi, ouvre en un. Ais les couilles de signer quand tu viens écrire tes trucs.

      Ma cohérence elle est là. Je n'aime pas me laisser emmerder par les laches sur mon blog. Ou par des cons. Mais les deux sont souvent les mêmes.

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Et bon appétit bien sur !